La rue des Pyramides va de la rue de Fleurus à la rue des Postes. A peu près au milieu de cette rue, on peut admirer une belle maison datant de 1892 et signée Alfred Newnham. On remarquera le bel ensemble que forme l'oriel en bois et le pignon qui le surmonte. Une belle réalisation qui tranche avec le reste de la rue dont le style est assez quelconque.
La petite rue Fabricy donne dans la rue des Pyramides. Elle est intéressante par deux bâtiments. Le premier correspond à l'autre côté de l'entreprise Coilliot. Si le bâtiment est moins original que celui de la rue de Fleurus, il est remarquable par la belle décoration de faïence et par l'opulence de ses formes. Il est actuellement en restauration.
Face à cet immeuble, on peut admirer la façade d'un éclectisme assez étonnant de l'ancienne fondation Vermeulen-Dumoulin (actuellement école Jules Michelet), industriel dont la tombe se trouve au Cimetière de l'est. Se mêlent des éléments baroques, renaissances et même des échauguettes médiévales.
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